Alors que je pensais opter pour la version standard à 50 euros chez Carrefour (Y-a pas de petites économies), j’ai encore cédé à la tentation et j’ai fait un saut à la Fnac jeudi dernier pour mettre la main sur l’édition Bastille d’Assassin’s Creed Unity. Je vous montre ce qu’il y a dedans ?
Contrairement à certains exemplaires de la version collector à 150 boules sur l’Ubishop, et c’est la première chose que j’ai vérifié, l’édition Bastille contient bien une copie d’Assassin’s Creed Unity ! Troll à deux balles mis à part, cette édition contient donc le jeu, un artbook de 75 pages, la bande originale officielle du jeu, deux lithographies ainsi que quelques petits DLC que je ne téléchargerais certainement jamais. Le tout étant soigneusement rangé dans un très joli coffret métallique du plus bel effet.
Vendu pour 10 euros de plus que l’édition standard, du moins par rapport au prix de vente conseillé, cette édition peut paraître assez maigrichonne, mais j’avoue être particulièrement friand du jolie coffret métallique floqué du sigle des Assassins d’un côté et d’un artwork d’Arno de l’autre. Surtout, elle ira vraiment très bien sur mon étagère à côté de celle d’Assassin’s Creed : Black Flag.
Pour le reste, l’Artbook est bourré de croquis et d’illustrations toutes les plus belles les unes que les autres, mais le bouquin manque cruellement d’indications ou d’un petit texte pour expliquer certains choix et les différentes inspirations des artistes. Je ne demande pas un pavé non plus, mais c’est toujours bon d’avoir ce genre de petites informations. Quant à la BO, si elle contient tout de même 26 pistes, je pense qu’il faudra mettre une nouvelle fois la main à la poche pour avoir la complète d’ici quelques mois. Et comme le veut la grande tradition de la série, la bande son est de qualité et propose un thème principal envoûtant qui va sûrement m’accompagner de longues heures au boulot. Oui, j’aime écouter ce genre de morceaux lorsque je crache des lignes de code.
Pour finir avec les choses qui fâchent, j’ai été particulièrement déçu par les deux lithographies. Pour faire simple, je les trouve moches et je pense qu’elles vont rester très longtemps dans leur enveloppe qui, elle, est clairement plus jolie. C’est dire ! Aussi, pour parler rapidement des DLC, sachez qu’ils apportent 45 minutes de jeu supplémentaire à travers deux missions inédites. Mais comme je le disais plus haut, à moins d’avoir rien d’autre à faire, je pense faire l’impasse et les laisser dormir dans la boite.
Au final, cette édition Bastille est surtout faite pour les fans de la série ou les amateurs d’artwork et de belles boites métalliques comme moi (Ca doit avoir un nom, je suis sûr). Car s’y je trouve parfaitement mon compte, ça ne sera certainement pas le cas de tout le monde, et je trouverais ça bien triste de voir un si bel objet trôner sur une pile de jeux d’occasions