S’il fallait que je ne retienne qu’un seul jeu de cette lointaine époque que j’appelle ma jeunesse, ce serait sans aucune hésitation Street Fighter 2. J’en rêvais même la nuit avant d’avoir la chance de l’avoir à la maison. Et c’est bien pour ça que même si je me suis écarté du jeu de baston ces dernières années, je ne pouvais décemment pas passer à côté de Street Fighter V. Un jeu d’une incroyable qualité qui m’a tout de même bien mis les glandes.
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Voyons les choses avec un peu de pragmatisme. Street Fighter V est un putain de bon jeu de baston qui offre une fenêtre suffisamment large pour que les novices y prennent du plaisir tout en proposant une profondeur de jeu assez folle pour que les vieux de la vieille passent des heures et des heures dessus. Le tout avec un gameplay remanié et saupoudré de nouveautés pour ne pas avoir l’impression de se retrouver face à une vulgaire skin de Street Fighter IV. Mais voilà, le jeu a été livré en kit avec un solo ridicule, une partie online torchée à la truelle et une interface qui n’aurait même pas sa place au beau milieu des années 90. Et même si Capcom nous a promis tout un tas de mises à jour pour nous fournir un jeu complet, le foutage de gueule est suffisamment grassouillet pour que vous preniez la peine d’y réfléchir avant de passer à la caisse.
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